…et je te dirai quelle maladie tu as. C’est un peu l’objectif de cette étude grandeur XL lancée sur Internet. Afin de mieux comprendre nos habitudes alimentaires, l’UREN (Unité de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle) « recrute » des internautes afin de les questionner sur le contenu de leurs assiettes. Mais attention, pour la réussite de ce projet il est espéré pas moins de 500.000 internautes (dit « nutrinautes »), motivés pour participer à l’étude durant 5 ans! Cela rappelle presque cette ancienne émission qu’était « Que deviendront-ils? ».
En analysant notre façon de manger à large échelle, l’UREN souhaite comprendre les petits et grands maux, allant de l’obésite aux cancerts. Mieux comprend pour mieux prévenir et mieux guérir, telle serait la devise de l’étude. La mission des inscrits sera de prendre quelques minutes chaque mois pour remplir un questionnaire sur ce qui a rempli votre frigo et votre estomac. Tout le monde peut s’inscrire à partir de 18 ans. Pour la réussite, il est demandé de s’investir aussi longtemps que possible, de préférence durant les cinq années prévues.
Pour vous inscrire :
Etude Nutrinet
Source :
FranceInfo
Bonjour,
J’ai participé à cette étude pendant plus d’un an et c’est vraiment trop contraignant les questionnaires sont trop longs et trop fastidieux donc je me suis désinscrit pas sans mal d’ailleurs, plusieurs semaines d’échange de mail pour détruire le compte.
Il faut non seulement se rappeler de tous ces repas sur une journée au sel près mais en plus il y a pas mal de questionnaire qui périphérique qui sont interminables.
Et maintenant l’étude nutrinet ouvre des centres pour examiner les nutrinautes qui le souhaitent.
J’aimerai bien connaitre le budget de fonctionnement et qui paie et pour quel bénéfice public ?
D’autre part je doute énormément de la fiabilité des résultats en effet quand je me suis inscrit on m’a demandé aucun justificatif sur mon age ou autre information (maladie etc …) donc il est tout à fait possible de répondre n’importe quoi.
L’idée était bonne à la base mais peu réalisable d’ailleurs l’objectif des 500 000 internautes n’est toujours pas atteint au bout de deux ans.